Autour d'un café

Nombre de messages : 1206 Date d'inscription : 19/06/2008

Je ne t'oublierais jamais

Jen et gibbs étaient déjà arrivé depuis quelques temps maintenant. Restant d'abord dans le salon le temps de boire ces cafés véritables miraculés en voyant l'arrêt final qu'il avait fait. Finalement il décida de se relever l'invitant à le suivre vers la cave donc. Si elle tenait tant que ça à l'aider pour son bateau...
Il alluma une des seules lampe et descendit les marches avant d'arriver en bas avant de la regarder alors qu'elle descendait.

-J'espère que tu n'as pas peur de te salir?

Dans tout ls cas soit c'était le verni et il y avait le risque de tache soit c'était poncer le reste du bâteau et la c'était la poussière et le risque d'écharte. Il avança dans son petit établit avant d'attendre qu'elle réagisse au moins celui là il ne devrait pas le brûler.

Elle le suit à l'établit et sourit en prenant une feuille de papier à sabler.

Si tu as peur que je me tâche ou me fasse mal, tu as seulement à me donner un chandail. Depuis le temps que tu travailles pour le NCIS, tu as probablement ça de vieux t-shirts, non?

Demande-t-elle avec un sourire magique.

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Vu qu'elle attrappa un feuille qui ponçait peu, il se rabata donc vers le pot de vernis et chercha un pinceau qu'il trouvait rapidement avec son rangement asez simple. Elle reprit la parole et il la suivit du regard tout en l'écoutant. La phrase, le sourire c'était bon ça va il avait saisit, il préfèrait la voire souriante que comme tout alleur, il sortit d'une armoir un vieux t-schirt marqué Nis plutôt et revena vers elle avec.

-Avec ça, ça devrait allez.

Il attendit un peu.

-Tu veux poncer avec ton petit bout de papier , La rabotteuse la ou mettre le vernis?

Autant demander lui de toute façon savait faire les trois, il resta face à elle.

Tant qu'à avoir un vieux chandail et tant qu'à être certaine de me salir, aussi bien prendre le plus tâchant des trois. Une fois bien tâchée, tu ne pourras pas venir me dire que je n'ai pas fait grand chose.

Elle prit le pot de venir et le pinceau qu'elle déposa sur l'établi. Vieux chandail en main, elle regarde Gibbs et sourit.

Je vais commencer par mettre le chandail. Je vais à la salle de bain, ne te sauve pas!

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Attendant qu’elle ce décide, il ne put que faire, il enleva la sorte de veste qu’il avait au dessus des épaules avant d’enfiler à son tours un vieux pull. Il en avait une place de l’armoire remplit avec, autant les utilisés non ?! Il se retourne vers elle en l’écoutant, il acquiesce.

-A condition que tu ne fasses pas exprès d’en mettre partout…

Il avait dit ça d’un ton sérieux mais c’était à prendre à la rigolade, il la fixe donc écoutant la suite, elle avait de bonne elle, ou se sauvez chez soi déjà ? ..

-C’est plutôt à toi que je devrais dire ça Jen...mais va y je t'en prie je pense que tu sais toujours où elle se trouve

Techniquement il ne va pas se sauvez chez lui hein, ca serai stupide ! Il attrape donc la raboteuse avant de revenir vers le bois, regardant ou il était arrivé d’abord et donc voyant ce qu’elle pourrait vernir. Il la laissa partir se changer alors qu’il porte l’objet vers la coque en bois et continue à poncer lentement.

D'un pas lent et calme, elle monte à l'étage et entre dans la salle de bain. Deux minutes, elle a enlevé sa chemise pour mettre le chandail. Elle prend le temps de se regarder dans le miroir et retourne rejoindre Gibbs. Arrivée en bas, elle le voit, dos à elle, penché... Pas plus folle qu'une autre, elle lui regarde les fesses et sourit.

Alors je mets de la teinture où?

Demande-t-elle en lui regardant toujours les fesses, mais vite, elle va à l'établi pour prendre la teinture et le pinceau.

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Il la regarde partir avant de continuer, raboter ce n'était plus que les détails qu'il n'avait pas eu le temps terminée hier, il la redéposa pour prendre la ponceuse, finalement les pas redescendirent l'escalier, entendant finalement la question il se retourne vers elle.

-Tu peux le mettre sur les deux côtés

Il montre les deux côtés en question, qui est l'avant et l'arrière du bateau le milieux il devait encore poncer un peu.

-C'est surtout pour protéger le bois la première couche mais il faut quand même la mettre...ça ira?

Il attend un peu.

-Si tu ne veux pas le faire je ne t'y oblige pas non plus.

Je suis ici pour t'aider, je ne vais pas refuser de faire ce que tu me demandes. Vois-tu comme nous sommes différent? Toi, tu refuses mes ordres et moi, j'exécute les tiennes!

Avec le pot de teinture dans les mains et le pinceau, elle se dirige vers l'avant du bateau, car Jethro est plus près de l'avant que le derrière. Elle veut tout de même lui parler en donnant une couche de teinture. En espérant qu'il ne s'attende pas à ce que ce soit silencieux. Une femme qui reste silencieux ce n'est pas une vraie femme. Elle ouvre le pot de teinture.

Mon dieu Jethro, quelle odeur forte! Wôôôôô, je vais bien sortir d'ici avec quelques cellules de cerveau en moins.

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Il l’écoute, c’était vrai que ça se résumait bien même si la logique voudrait pourtant le contraire enfin chercher quelque chose de logique dans se monde hein ?..

-C’est fou comme c’est logique…mais bon quand on ne connaît pas on n’a pas le choix non plus.

Ce qui était vrai si on ne savait pas on se contentait de faire ce qu’on demandait une fois que vous savez ou son les limites on prend un peu plus d’espace on va dire. La voyant partir vers l’avant du bateau il repose l’objet contre la coque du bateau avant de commencer en mouvement circulaire avant de l’entendre s’exclamer.

-Tu dois la mettre, Jen pas la respirer..

Dit-il pour la charrié avant de la regarder.

-Pose le pot à terre sa fera qu’il sera plus éloigné de toi, tu le sentiras moins…ou tu veux qu'on n'échange, sa fatigue plus les bras mais tu t'intoxiqueras moins.

Non non, j'ai dit que je voulais mettre le vernis et je vais le faire. Je te fais confiance, si je me brûle quelques cellules du cerveau, tu n'abuseras pas de moi.

Elle trempe son pinceau dans la teinture et comme Gibbs lui a dit, elle éloigne le pot d'elle. Elle commence alors à étendre le vernis.

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Gibbs écoute sa réplique et esquisse un sourire tout de suite les grand mot hein, pour un simple vernis qui sens fort ça c'était un faite certain, mais bon le respirer un peu ne changerait pas grand chose tant qu'on ne sniffait pas le pot, c'était pas fait pour ça non plus...Il la regarde commencer avant de reporter le regard vers l'endroit ou il était occupé.

-Tu voulais parlé de quoi exactement?

De quoi je voulais parler? De rien! Devrais-je avoir quelque chose à te dire? Prendre un café avec toi, c'était seulement pour le plaisir de se retrouver avec quelqu'un de cher. Dois-je réellement avoir quelque chose à te dire quand on parle de prendre un café ensemble?

Demande-t-elle en tournant la tête vers lui. Il était si beau comme ça, en travaillant son bateau.

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Sur tout le temps qu’elle parla, il ne bougea pas de son occupation du moment. Elle n’avait pas tord même si c’était un peu confus tout de même par rapport à ce qu’elle avait dit ou fait avant d’arriver ici. Finalement, il stoppa quelque temps et se retourne vers elle. Elle avait toujours le pinceau en main.

-Non tu ne dois pas, mais ce qui me fait penser le contraire c’est que tu reviennes dans le cimetière, que tu propose de prendre le café chez moi, sans tenter autre part avant. Et que tu me propose même ton aide, j’apprécie certes, mais ce n’est pas vraiment dans tes habitudes et le plus souvent à chaque fois que tu viens ici le soir c’est pour me parler de quelque chose d’où ma question.

Sur ce il reporta son regard sur la coque du bateau et reprit.

Jethro connait trop cette femme, elle ne peut rien lui cacher. Voyant échaper à toute autre question ou même échaper à ce que le ton monte d'un cran entre les deux, elle dépose le pinceau sur le pot de teinte et va s'asseoir sur une chaise près de l'établi.

Je ne peux rien te cacher Jethro.
Si je suis réellement venu au cimetière, c'est non seulement pour te voir, mais disons qu'en voyant que la voiture dans le stationnement était la tienne, ça m'a poussée à entrer. Je voulais venir voir quelqu'un au cimetière pour demander des conseils... quelqu'un que tu ne connais pas.

Je t'ai vu penché devant la pierre de ta femme et de ta fille et j'ai craqué. Si je pouvais t'avouer quelque chose en sachant très bien que tu ne serais pas en colère, je le ferais, mais je sais que tu vas prendre les nerfs, alors je me tais.

Elle se tait, mais elle lui écrit une lettre chez elle.

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Quand il entend le bruit qu’on dépose quelque chose sur un autre objet, il s’arrête et se retourne vers elle, visiblement vu son geste, il avait tapé juste, il la voir partir vers la chaise, il s’adosse finalement au bateau maintenant derrière lui et la regarde l’écoutant simplement…demander des conseils ? Comment voulez vous pas vous inquiétez ou ne pas poser des questions après des phrases pareils. Il attend la fin en silence pourtant. A la fin il penche la tête sur le côté avant de se redressez..S’énervez pour ?...

-Des conseils ?...

Oui on peut parlez aux morts mais si un jour ils nous répondent, ça ferait sans doute plus peur qu’autre choses..

-Jen en parlant comme ça et en me disant qu’il y a bien quelque chose que tu tente de dire et que tu ne le dira pas, ça pousse les gens à savoir quoi…de plus pourquoi me mettrais-je en colère ?

C’était vrai ça, enfin tout dépendait de ce qu’elle voulait bien dire mais bon, elle devait avoir l’habitude de le voir s’énervez tout de même…Un risque en moi il y a le bateau tout près se qui a toujours eu le don de le calmer…

Ne voulait pas répondre à sa question, elle fait comme si elle ne l'avait pas entendu et se lève doucement. Elle se rend à lui et lui prend la raboteuse des mains et se met à côté de lui.

Comment ça marche ça?

Demande-t-elle en la posa sur la coque du bateau.

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Il la vit changer de sujet bon d'accord pas trop mal mais ce n'était pas pour autant qu'il avait oublié ça question, il pourrait certes la forcée à donner un peu plus d'information que ça mais il laissa ça comme ça pour le moment. Sauf que maintenant il la tiendrait plus à l'oeil.. Il la vit prendre la raboteuse.

-Facilement, je te montre...déjà mes les deux mains dessus ç'est plus facile.

Il repasse derrière elle finalement avant de poser doucement ses mains sur ses avant bras.

-Et tu fait des mouvements circulaire sans appuyer comme une déchaînée.

Il commença d'abord avant de se reculer et de la laisser faire toute seule.

Un frisson parcouru son corps en sentant les mains de Jethro se poser sur ses avant-bras. Ça ne dura pas longtemps, car il recula peu de temps après. Il dit de ne pas appuyer comme une déchaînée, mais pourquoi elle l'écouterait si elle peut, une fois de plus, avoir ses mains masculines sur son corps. Finalement, non, elle ne va pas appuyer fort. Ce n'est pas le temps de lui briser son bateau tout de même.

C'est avec douceur qu'elle commence les mouvements circulaires comme il lui a bien expliquer. Est-ce vraiment ça poncer? Elle trouve ça vraiment ennuyeux, mais elle ne lui dit tout de même pas.

C'est normal le fait que j'ai mal déjà aux bras?

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Il la regarde pour voir comment elle fait car bon, il y tient tout de même au bateau hein, après le nombre d’heure qu’il a déjà passé au dessus et celui là il compte bien le terminé et ne pas le brûler surtout. Entendant la question il esquisse un pâle sourire avant de lui répondre.

-Quand on n’a pas l’habitude de le faire c’est logique…je ne dis pas que tu n’as pas de force dans les bras simplement que ce n’est pas ce qu’on fait tout les jours en se levant donc c’est normal….Tu veux que je reprenne ça ?

Demanda t-il finalement. Il attendrait un autre moment pour reposer ça question. Non il ne l’oubliait pas, parfois mémoire sélective mais la non.

Il veut reprendre la roboteuse... elle se tourne vers lui et oups, elle se trouve très proche de lui. Un faible sourire, elle lui regarde les lèvres et lève ensuite les yeux vers lui.

Si tu veux... tiens!

Elle lui donne la roboteuse et s'éloigne vite de lui.

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Gibbs ne recula pas quand il se retrouva d'un coup très près d'elle. Il eut bien l'envie de repasser un bras autours de sa taille pour combler le court espace entre eux mais il en le fit pas. Son regard quelque peu déviant ne lui échappa pas pour autant, oh il l'avait déjà fait aussi. Il prit la raboteuse qu'elle lui donnait et se retourna vers elle.

-De quoi as-tu peur?

Ca sortit plus vite que ce qu'il ne pensait mais bon trop tard, son ego ne se rectifiera pas.

Pourquoi faut-il qu'il la regarde avec ce regard profond.
« De quoi as-tu peur? De quoi as-tu peur? Il veut rire de moi ou quoi!?! »
Elle le regarde donc et lui répond :

De tout Jethro, j'ai peur de tout... aussi bien être franche avec toi. Le fait d'être trop prêt de toi ramène en moi des images de Paris.

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Il déposa finalement l'objet qu'il avait en main sur la petite tablette pas loin. Avant de reporter son regard vers les yeux verts de Jen. Il attendit la réponse sans réitérez ça question. Bon au moins la on se rassure de ne pas être le seule à se faire des flash back pour le moins explicite.

-Et c'est pour ça que tu recule comme si j'avais la peste?...Je ne te dis peut-être pas grand chose mais je suis chaque fois franc avec toi quand je te parle....

C'est pour la plupart du temps vrai car bon on ne peut jamais dire jamais n'est ce pas.

Oui, parce que je sais que si l'océan de tes yeux rencontre l'émeraude des miens pendant plus d'une minute, je vais caquer et ça... il ne faut pas. Quand je suis devenue directrice du NCIS, je t'ai donné un ordre et je ne dois pas la contourner...

Elle voudrait la contourner, mais elle ne peut pas, car par la suite personne ne va perdre ses ordres au sérieux.

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Il la fixe et écoute. 9 au moins avait le mérite d'être franc sa réponse. Il avance un peu. Ne savant plus trop sur quel pied danser il reprent pourtant.

-Pourtant contourner ma propre règle n'avait pas trop l'air de te déranger avant.

En quoi c'était différent hein? c'était une règle ou un ordre non? Qui d'autre le savait,?personne! Il stoppa la ça réfléxion. Si elle voulait donner des arguments qu'elle en donne des vrais.